Jour 9-B : Sieste au soleil.

- Hmm miam la nouvelle boulangerie fait des pains melon comme personne !

Seiki et Kage s'approchèrent au plus près du lac pour s'y installer confortablement. Aujourd'hui le ciel était bleu et les rayons du soleil éclatant même s'il faisait frais. L'automne avait rougit les arbres, la brise caressait doucement les herbes, et les feuilles se déposaient majestueusement sur l'eau formant ainsi de jolis cercles.

- Le paysage est magnifique, tu ne trouves pas Kage ?

- Cela est vrai.

Il en fallait peu à la jeune fille pour se sentir bien, même si un pincement au coeur la poursuivait depuis hier soir.

- Je suis désolée..

A ces dernières pensées, elle ferma les yeux et se laissa aller au monde des rêves.

kazia qui n'avait pas vraiment envie de rester toute une journée assis, enfila son jogging et partit faire un jogging dans le parc. Onji la suivait de pres et les comperes se dirigèrent vers le pont. kazia courait vite a un point que Onji avait du mal a suivre.

-TEMPS MORT!

Onji s'écroula morte de fatigue.

-qu'est ce qui t'arrives?
-j'en peux plus une pause par pitié!

kazia retourna sur ses pas et rejoignit Onji. Onji regarda kazia curieuse de se qu'elle allait faire. a sa grande surprise kazia pris Onji dans ses bras et marcha le long du lac.

-merci
-je t'en pris

elles marchèrent et virent seiki et kage qui se reposait pres du lac. Onji vit kage, lorsqu'elle le vit elle herissa le poil.

-qu'est ce qui te prends?
-c'est un ennemi!
-pardon?
-c'est le protecteur d'une shinigami!notre pire ennemi!
-mais ce n'est plus une shinigami!
-mais lui a toujours le meme statut!

avant que kazia ai pu reagir Onji avait bondit sur kage et les animaux commencèrent a se livrer bataille.

Kage invoca sa clochette et ces ailes apparurent, il pris de l'altitude laissant l'animal s'excité tout seul.

- En voilà des manières ! s'emporta-t-il.

- Et bien ça alors ! fit Seiki. Elle approcha sa main d'Onji. Pourquoi nous attaques tu petit être ? Nous ne te voulons aucun mal.

Onji n'était pas de cet avi, elle mordit la main de Seiki et la tînt fermement dans sa gueule.

- Itai ! Hey tu n'est pas gentile !! Gronda plutôt doucement Seiki. C'est que ça fait mal tu sais ? Ce n'est pas bien !

- Lâche maitresse Seiki maintenant ! Ordonna Kage.

Seiki tendit l'autre main pour lui ouvrir la gueule et enleva l'hermine en prenant soin de ne blesser personne.

- Calme toi maintenant Onji et peut-être je te lâcherai. Peux-tu me dire ce qui te tracasse ? pourquoi attaques-tu Kage de la sorte ?

kazia accouru a toute vitesse pour aider seiki.

-LACHE LA TOUT DE SUITE ONJI!

Onji ne voulait cependant pas lacher l'affaire.

-Onjiiii!

kazia arriva a sa hauteur et regarda l'hermine dans les yeux.

-tu sais ce qui va t'arrivée si tu ne la lache pas?

Onji sembla réfléchir un court instant puis céda.

-bien! je préfère! excuse moi seiki Onji est...un peu impulsif je suis désolée il n'aime pas trop les chats.

- C'est plutôt compréhensible, les chouettes, les chats et les renards sont les prédateurs des Hermines dans la nature, je suppose qu'ils ont une prédisposition à l'intolérence ^^

- Ceci n'empêche pas que son acte à ton égard est impardonnable.

Kage plannait toujours au dessus d'eux, assez furieux.

- Tu vois, mon Kage aussi à son caractère, dit-elle ironique.

kazia riait un peu.

-hum...kage? peut etre serait il plus sage de descendre d'ou tu est car on risque de te voir non?

kazia retenait Onji et la regardait avec un regard qui signifiait bien l'interdiction de paté si jamais elle recommencait.elle se tourna vers seiki.

-désolé j'arrive pas encore a le dresser mais sa va?

Kage avait oublié qu'il était toujours en vol, il atterri délicatement et repris sont aspect de chat. En plus de ses ailes, lorsqu'il se "transformait" de la sorte, sa fourrure ce densifiait, ses yeux jaunes s'intensifiait et ces cros poussait légèrement.

- Bien, on devrait plus craindre quoi que ce soit désormais, hein Kazia ? demanda Kage d'un ton sarcastique.

Seiki se rallongea dans l'herbe.

- Si cela ne vous ennuie pas, je vais profiter des derniers rayons du soleil et dormir un peu moi.

Elle n'avait pas l'habitude de rêver, ni même de dormir, si bien qu'au début elle se surmenait. Maintenant, elle adore faire des siestes et rêver...

kazia sourit.

-pas de probleme de toute fason j'ai certaines choses a régler de maniere urgente! Onji vient!

Onji suivit a contre coeur kazia et ne cessait d'adresser un regard ,noir a kage.

-dépeche toi on nous attends!tete de mule!

ils s'éloignèrentde seiki et kage.

-sale bete!
-bravo! franchement quelle discrétion!
-c'est mon ennemi mortel comment tu voulais que je reagisse?
-tu devras t'habituer a l'ignorer! seiki n'est plus une shinigami et sa depuis...
-que tu t'est permis d'intervenir! d'ailleurs tu savais que tu n'avais pas le droit! et tu l'as fais! ce n'est pas étonnant que le conseil t'as convoquée a la suite!
-bon! en parlant de sa...dit t-elle en regarsdant sa montre;je vais finir par etre en retard!

elle se mit a courir a toute vitesse.

Kage enfin débarrassé de l'impétueuse Onji se retourna vers sa maitresse, faussement paisible.

- Tu penses encore à lui c'est ça ?

- Hm ? mais.. bien sûr que non ! Je profite de cette belle journée.

Seiki mentait très mal, il faut dire qu'elle n'en avait pas l'habitude.

- Seiki.. tu crois vraiment que je suis si naïf ? Qu'as-tu à la fin ? Racontes moi !

- Je.. je ne sais pas.

- Tu ne sais pas ?

La fillette hésita puis, sondant ces émotions avoua :

- Il me manque je crois.

- Et ben va le voir.. C'est pas bien compiqué !

- Non je.. il pourrait encore lui arriver malheur si je l'approche.

Kage tourna la tête et regarda au loin.

- Fumm, pour être sincère, je crois qu'il sera encore plus malheureux si tu ne l'approches plus.

- Tu.. tu crois ?

Sa maitresse s'était redressée, elle regardait Kage, attendant plus.

- Allez vien, je sais de par une bonne amie qu'il siege à l'hotel lors des semaines de cours. Allons demander le numéro de sa chambre à l'accueil et nous verrons bien.

Seiki le suivit instinctivement, ne sachant pas si elle aurait le courage de frapper à sa porte, encore moin de parler.